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Interview Opera24, Tommaso Scattolari:
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Salome Strauss, Ente de Carolis, Sassari 2025:
L’Ape musicale: https://l1nq.com/LCpbL
Salome proposta dall’Ente lirico De Carolis di Sassari, che risulta in realtà meno scandalosa di quanto promesso da vedere, ma assai interessante da ascoltare.
Federico Santi prende la partitura di Strauss e la legge come un organismo in decomposizione progressiva. Si parte da un residuo tardo-romantico, ancora leggibile, con una sintassi ottocentesca soprattutto nelle sonorità. Poi, sezione dopo sezione, il tessuto sonoro si corrode. I fiati si dilatano, gli archi si disfano in filamenti che sembrano dissolversi nell’aria. La musica smette di accompagnare e diventa contagio, in un percorso orchestrale interessante e coerente. Nella scena finale del bacio alla testa mozzata, l’espressionismo esplode: è il Novecento che bussa, che scalpita per entrare.
Il pubblico ha applaudito lungo, e non per cortesia.

Operaclick: https://sl1nk.com/B6ZkB
La resa della protagonista è indubbiamente valorizzata dalla concertazione di Federico Santi, capace di creare la giusta chimica tra palco e buca e di esaltare i momenti di grandiosità proposti dalla partiturea.

UnicaRadio: https://sl1nk.com/5DGEY
Sul piano musicale, la serata sassarese è stata un trionfo. Il direttore Federico Santi ha guidato l’imponente partitura con controllo raffinato, valorizzando ogni dettaglio della scrittura modernissima di Strauss. Dal fluire dei motivi al serrato contrappunto, passando per le dinamiche mutevoli che modellano le emozioni dei personaggi. Un lavoro reso possibile grazie alla solidità dell’Orchestra del de Carolis.

La Nuova: https://l1nk.dev/U6AX9
I lunghi applausi che arrivano al termine della prima sassarese (un viaggio ininterrotto di un’ora e 40 nella grande musica e nel teatro) suggeriscono che il pubblico del Comunale ha apprezzato Il lavoro realizzato dal direttore Federico Santi. Il maestro è riuscito a gestire quest’opera mastodontica con competenza e sensibilità, gestendo la mutevole dinamica dei ritmi, il fluire rapido dei motivi tra le parti, il serrato contrappunto della musica di Strauss. In questo scrupoloso lavoro Santi ha potuto contare su un’ Orchestra  del de Carolis sempre più coesa e di grande affidabilità esecutiva.

Gliamicidellamusica: https://l1nq.com/BvX6t
Il M° Federico Santi, alla prima lettura della partitura a meno di un mese dalla messinscena, affronta l’impresa con rigore, intelligenza e una sorprendente padronanza della materia orchestrale. La sua è una lettura chiaroscurata, fondata su contrasti decisi e su una tensione costante che privilegia la drammaticità rispetto alla pura bellezza timbrica. Salome richiede al direttore la capacità di dominare una massa orchestrale sulla carta poderosa e di dar voce a ogni minimo dettaglio; Santi riesce nell’intento ottenendo una resa d’insieme compatta e vibrante di grande teatralità e precisione nonostante le dimensioni ridotte della buca del Teatro Ente De Carolis che non consentono di ampliare la sezione degli archi come previsto da Strauss. Gli archi mantengono coerenza e densità, le percussioni sono incisive, i fiati nitidi e il contrabbasso, spesso protagonista in momenti inusuali, riceve un rilievo espressivo inedito. La concertazione è solida, dinamicamente controllata ma ricca di energia e capace di dare corpo al magma sonoro straussiano senza mai perderne la trasparenza.

Avignon Symphony Concert 2025:
Classiqueenprovence: https://shorturl.at/6lNc2
Il commençait par, n’ayons crainte de l’affirmer, un superbe Prélude à l’après-midi d’un faune, tempo idéal, maîtrise des nuances et de la dynamique… instant de grâce.
Sous la direction d’un chef sobre, précis dans sa gestuelle, et posé, cette pièce fut un véritable régal…en parfaite coordination avec l’orchestre, la soliste…
Changement radical d’ambiance parfaitement réussie par le chef, à la gestuelle cette fois plus expressive et démonstrative, et ses musiciens. L’esprit de Poulenc était là vraiment présent, enjoué, malicieux… Orchestre bien en place, coordonné, lignes musicales claires et bien définies, maîtrise des nuances et des dynamiques…
Le succès fut ainsi au rendez-vous dans cette belle soirée…

https://shorturl.at/XOaEq Son geste clair, précis, son sens des respirations et des dynamiques ont servi avec intelligence et sensibilité chacune des œuvres. Sous sa direction, le Prélude à l’après-midi d’un faune de Debussy s’est révélé comme un rêve suspendu, d’une grande délicatesse, ouvrant une fenêtre sur un monde sensuel et mystérieux, comme dans l’Adagio céleste de Rautavaara, moderne et lumineux, qui a élevé le public vers des sphères contemplatives, avant que la pétillante Sinfonietta de Poulenc ne conclue la soirée par une effervescence orchestrale digne des grandes symphonies.
Federico Santi a confirmé une complicité féconde avec les musiciens de l’ONAP.

La Bohème, Opéra Grand Avignon 2025:
ClassiqueNews: https://shorturl.at/JTYtZ Soulignons tout d’abord la direction détaillée, vive, très précise du chef en fosse Federico Santi dont le sens du relief accuse chaque temps fort de l’action, tout en soignant la suggestion des moments plus atmosphériques : début de la Barrière d’enfer, ou le court intermède du dernier tableau, le plus tragique, celui de la mort de Mimi.
L’Orchestre national Avignon Provence déploie un spectre superlatif de nuances et de phrasés qui proposent de la partition puccinienne, une lecture passionnante à suivre grâce à son raffinement pointilliste. Le sens du détail qui n’affecte en rien le souffle dramatique global, permet de saisir, festivals de couleurs et d’accents tenus, toutes les options [cinématographiques] de l’orchestration de Puccini… Entre autres, la partie de clarinette qui ponctue chaque séquence amoureuses entre le poète et sa muse Mimi, à commencer par l’impulsion première de leur rencontre à la bougie; c’est aussi la vibration particulière, continue, profonde de la clarinette basse qui dans le dernier tableau fatal, fait retentir la tension tragique, jusqu’au souffle désormais compté de la grisette condamnée. Vivacité nerveuse et expressivité riche en nuances défendues d’un bout à l’autre produisent une parure orchestrale constamment engagée, expressive.

Première Loge: https://shorturl.at/W8Q8w L’orchestre national Avignon-Provence, dirigé par Federico Santi, est en parfaite harmonie avec cette mise en scène. La lecture musicale du chef est marquée par une grande légèreté et une agilité rythmique. Sans jamais verser dans l’excès, il instaure une forme de fatalité douce, où l’émotion affleure sans emphase excessive. Il renforce les contrastes de la partition avec un effectif enrichi pour l’occasion. L’orchestre, particulièrement enjoué et présent dans les premiers tableaux, se fait plus subtil et nuancé dans la deuxième partie de l’opéra. En somme, cette Bohème avignonnaise, par sa mise en scène épurée et son engagement musical, réussit à toucher au cœur.

Journal Zebuline: https://journalzebuline.fr/a-avignon-une-boheme-toute-en-pudeur/ Un projet de grande ampleur, porté par un orchestre remarquable de bout en bout. Sous la direction de Federico Santi, l’Orchestre national Avignon-Provence est à la fois d’une précision et d’une expansivité remarquables, à l’écoute de ses solistes et fort d’une identité marquante sur des pages et thèmes pourtant archiconnus de tout l’auditoire. 

Olyrix: https://shorturl.at/pPOqs La riche orchestration de Puccini est d’autant plus poignante dans ce cadre épuré où chaque geste et chaque élément trouve sa finalité. Elle est ici servie par Federico Santi, chef associé de l’Opéra Grand Avignon. L’Orchestre est aussi bouleversant dans l’intensité des explosions musicales comme celle qui vient pousser le “O soave Fanciulla” ou encore conclure la reprise du “Quando m’en vo” que dans la suave mélancolie qui habite la poésie des parties de solistes sur le “Donde lieta” par exemple. Il est aussi fusionnel avec les intentions transparaissant de la voix des chanteurs qu’avec les effets du plateau qu’il accompagne.

Appointment of associate conductor of Opéra Grand Avignon 2024:
https://www.opera-online.com/fr/articles/federico-santi-nomme-chef-associe-a-lopera-grand-avignon

https://www.olyrix.com/articles/breve/7885/federico-santi-nouveau-chef-associe-a-l-opera-grand-avignon

https://www.ledauphine.com/culture-loisirs/2024/10/15/nomination-d-un-chef-associe-a-l-opera-grand-avignon

La Traviata, Opéra Grand Avignon 2024:
Forum Opera: https://www.forumopera.com/spectacle/verdi-la-traviata-avignon/ Sous la baguette efficace et attentive de Federico Santi, l’orchestre nous ravit. Rapidement, la fosse va trouver ses marques, pour une narration subtile, qui conduira le drame. La direction ménage les équilibres et les contrastes, les accentue si besoin, avec une maîtrise remarquable. La transparence des plans, les jeux de timbres (quels beaux bois !), tout participe à l’élégance comme à la force du discours. Les soli orchestraux, notamment dans les passages parlando, sont discrets, simples, naturels, propres à laisser la voix assumer le drame.

Olyrix: https://www.olyrix.com/articles/production/7874/la-traviata-verdi-opera-grand-avignon-11-octobre-2024-article-critique-compte-rendu-santi-woodbridge-chloe-lechat-favre-fantin-bruguiere-gaillardot-hostache-muzychenko-hacker-vasile-carrere-buendia-buffiere-ferreira-ribis-veilleux-heritier-iltis-alkhouri Federico Santi dirige l’Orchestre National Avignon-Provence avec précision, d’une battue ferme ou fine et délicate, selon les passages. La phalange offre en retour un jeu plein de nuances, traduisant la sensibilité exprimée par le chef.

ClassiqueNews: https://www.classiquenews.com/critique-opera-opera-grand-avignon-octobre-2024-verdi-la-traviata-julia-muzychenko-jonas-hacker-serban-vasile-chloe-lechat-federico-santi/ La distribution et la direction musicale sont elles … au sommet. En fosse, l’Orchestre National Avignon-Provence trouve les accents justes, la profondeur, la vérité sous la baguette attentive de Federico Santi, chef associé de l’Opéra Grand Avignon. La partition de Verdi rayonne au fur et à mesure de l’action – et de la lente et inéluctable descente aux enfers de Violetta. Des vertiges illusoires de la vie de courtisane, à la solitude finale, dans la misère de la mort. Et pour laquelle, rien n’aura été épargné. Une production vocalement et musicalement bouleversante.

Crescendo Magazine: https://www.crescendo-magazine.be/la-traviata-a-lopera-du-grand-avignon/ L’orchestre sous la direction de Federico Santi et le chœur de l’opéra du Grand Avignon restent également remarquables. Bien que l’orchestre veuille rester plus narratif plutôt que lyrique, morcelant ainsi parfois la continuité musicale en fonction des scènes, il transmet bien la richesse chromatique de l’orchestre verdien, si proche de la symphonie. Le public ne s’est pas trompé en applaudissant ce spectacle musicalement réussi.

Libre Théatre: https://libretheatre.fr/la-traviata-a-lopera-grand-avignon/ Sous la direction de Federico Santi, l’Orchestre d’Avignon Provence va bien au-delà de l’accompagnement des chanteurs, en établissant un véritable dialogue avec eux. Un spectacle salué par des ovations méritées.

Tosca, Opéra Grand Avignon 2024:
Première Loge: https://www.premiereloge-opera.com/article/2024/04/08/opera-davignon-une-tosca-populaire-barbara-haveman-sebastien-gueze-andre-heyboer-federico-santi-jean-claude-berutti-critique/ La tension ne faiblit à aucun moment et le chef a su faire entendre toute la palette mouvante de la sensualité et de la terreur, du drame et de ses fureurs. Le travail de Federico Santi est remarquable d’engagement et de précision, de subtilité et de couleurs. Et l’on se prend à découvrir tels contrechants de clarinette basse et contrebasson durant le monologue de Scarpia, ou d’autres détails qui ne sont en rien factices mais révèlent une passionnante lecture de la partition. De la douceur des duos d’amour entre Tosca et Mario au déchainement du Te deum, de la terrifiante scène de torture à l’affrontement Scarpia-Tosca, c’est bien d’abord à Federico Santi que l’on doit une belle soirée puccinienne. Les chœurs sont parfaits d’ensemble et de musicalité.

Opéra Magazine: https://operamag.com/comptes-rendus/operas/une-tosca-immersive-a-avignon/ Dans la fosse, Federico Santi embrasse la partition avec une acuité remarquable. Sous sa battue nuancée et vibrante, l’Orchestre National Avignon-Provence, le Chœur et la Maîtrise de l’Opéra Grand Avignon se donnent, littéralement, corps et âme.

Classique News: https://www.classiquenews.com/critique-opera-avignon-opera-grand-avignon-du-5-au-9-avril-2024-puccini-tosca-b-haveman-s-gueze-a-heyboer-jean-claude-berruti-federico-santi/?fbclid=IwAR3HUegtLdqje6iGtq8JqZDBEVh65odBZI-K6a0RXJTKLrEIB-ZdfHoSMNY_aem_AZpJ16wd848YWmDGHz4T2_aLvQ1tl-SbdQjUsvcwvoxYY4c7lI987v2vhqYE1hCylhzvg7pXqcNAtL0CLRPklyyT En fosse, le chef italien Federico Santi est une belle découverte. Nerveuse, contrastée à souhait, lyrique sans jamais être sirupeuse, bien articulée, sa direction fait merveille. L’Orchestre National Avignon-Provence, le Chœur et la Maîtrise de l’Opéra Grand Avignon, ne font qu’un pour donner le meilleur d’eux-mêmes. La richesse d’écriture, l’orchestration somptueuse de la partition sont mises en valeur par la lecture qui en est donnée : de la poésie, de la tendresse, mais aussi de l’animation, des tensions qui s’exacerbent, des progressions conduites de main de maître, tout est là. Et c’est bien naturellement que le public provençal, d’un enthousiasme rare, ovationne longuement tous les acteurs de cette incontestable réussite!

L’avant-Scène Opéra: https://www.asopera.fr/articles/2822/tosca?fbclid=IwAR2TbjOvYfXv9jNh0kfi2N_rkLW01y-O76RtawFXhXhTrfpbOXD8V1Tsryc_aem_AZoLa-lT16f86bqNg7i0mdxTK9OlNy1aSB7V6Hn7bQBl2kHSCXtZcrcAH19royMim2BjRtc8z-nbQxG6fSKk6ZH2 La réussite du spectacle repose tout particulièrement sur l’exécution musicale et scénique des interprètes, placés sous la direction de Federico Santi. Durant le premier acte, la lenteur des tempi surprend d’abord, mais l’on apprécie peu à peu l’assise du discours musical, rendant perceptible chaque aspect du drame. Ainsi, les premiers échanges de Cavaradossi et Tosca respirent bien plus que d’ordinaire, à chaque phrase, chaque geste. Dans les moindres interstices, le langage vocal et orchestral trouve son prolongement naturel dans le langage corporel des deux interprètes. C’est bien là l’aspect le plus délicat et le plus réussi de la production.

Libre Théatre: https://libretheatre.fr/tosca-une-performance-magistrale-a-lopera-grand-avignon/?fbclid=IwAR0SiK5cqQbi8duMrfXextgNfXqEVOjjY50Ys7EHC3CfOtS2JURJ_bXtFtc_aem_AZqSjtTvek5G1WZNhD14OlmzI2HoAxBR4ATi9juYQHJeESJnw8oene3SrcJnBiLMrek1h6mzp2GKhKpU5bz7VsBN Sous la direction experte de Federico Santi, l’orchestre Avignon-Provence a offert une interprétation magistrale de la partition, mettant en évidence le sens inné de la dramaturgie de Puccini.

Peter Grimes, Opéra Grand Avignon 2021:
– Arts-Spectacles: Ouverture de saison à l’Opéra d’Avignon avec Peter Grimes de Britten ou «Tempête sous un crâne » Federico Santi, subtil, incisif, monte fièrement à la barre du navire. En véritable maître des pulsations et des nuances, dans un mélange de sadisme trouble et de révolte passionnée, le chef se montre un vrai virtuose dans sa manière de nous rendre attachante la bizarre partition de Britten. Splendeur des cuivres, irrésistible sensualité des corde, atmosphère magique du pouvoir évocateur des Interludes Marins. 

– Opéra Magazine: Le plus enthousiasmant, peut-être, reste la performance de l’Orchestre National Avignon-Provence, dirigé avec un métier confondant par Federico Santi. Pour leur première rencontre avec Peter Grimes, chef et instrumentistes se surpassent, dans une partition extrêmement compliquée à mettre en place.
Un véritable souffle émerge de la fosse, emportant le spectateur dans un voyage qu’il n’est pas près d’oublier.

Richard Martetv

– Bachtrack: Un Peter Grimes d’exception à l’Opéra Grand Avignon Mais c’est d’abord la suprême qualité de la musique jouée par l’Orchestre National Avignon-Provence qui nous comble d’emblée. Elle fait ressortir les orchestrations très variées et riches de séquences envoûtantes, ainsi que le génie mélodique de Britten, qui font de Peter Grimes un si grand chef-d’œuvre. Sous la direction de Federico Santi, tous les instrumentistes font preuve d’une concentration sans relâchement et le chef parvient à doser les volumes des différents pupitres en une alchimie enthousiasmante. Les exemples sont nombreux, comme les flûtes et la harpe pendant le récit de Peter de la mort de son premier apprenti, les trombones régulièrement menaçants, ou encore l’ensemble des cordes pendant les introductions et interludes musicaux. La précision rythmique est aussi impeccable, aussi bien pour les instrumentistes que les choristes, ces derniers provenant des deux chœurs de l’Opéra Grand Avignon et de l’Opéra national Montpellier Occitanie.

– Scènes Magazine (Swiss magazine, on paper): Le faut saluer le chef Federico Santi qui parvient à obtenir un résultat époustouflant de la part de l’Orchestre National Avignon-Provence, la musique produisant un délice permanent à nos oreilles. François Jestin 


– Opera Online: Un éblouissant Peter Grimes pour la réouverture de l’Opéra Grand Avignon (Chronique)Violent et réglé avec précision, ce spectacle répond au tissu symphonique très serré qui monte de la fosse. L’Orchestre National Avignon-Provence, puissant et transparent, se surpasse comme jamais, et ne faiblit pas un seul instant. L’excellent chef italien Federico Santi fait notamment des fameux Sea Interludes des pages dramatiques particulièrement angoissantes.  

– Premère Loge: Peter Grimes à Avignon : ouverture en grand ! – Première Loge Le chef Federico Santi a accompli un formidable travail et cela s’entendait avec bonheur. Ce n’est pas un hasard si, au tombé de rideau, l’orchestre s’est immédiatement mis à l’applaudir. On admirera l’énergie déployée dans celui de la tempête, la subtilité de timbres et la poésie recherchées dans le bouleversant dernier interlude ouvrant sur le drame final. Tout au long de l’œuvre, les musiciens étaient en phase avec son esprit, changeant. L’orchestre s’investit totalement dans le spectacle, avec un pupitre de cuivre superlatif, vibrant, feulant, grondant, avec une petite harmonie toujours pertinente (clarinettes et flûtes en tête, mais bassons et hautbois ne sont pas en reste). Le ronflement des contrebasses, le chant des violoncelles viennent renforcer la réussite.  

– Anaclase: http://anaclase.com/chroniques/peter-grimes-3 Par son écriture qui alterne grands tutti et traits chambristes d’un dessin hyper précis, Peter Grimes n’est assurément pas une page facile pour la fosse. Si nous avons constaté à plusieurs reprises le constant progrès dans lequel s’est tenu l’Orchestre National Avignon-Provence ces dernières années, la représentation de cet après-midi confirme un niveau qui déploie d’innombrables qualités au fil du spectacle. Bravo à tous les musiciens, ainsi qu’à Federico Santi qui, au pupitre, cisèle adroitement l’exécution, dans un équilibre jamais pris en faute avec les voix.  

– Olyrix: https://www.olyrix.com/…/peter-grimes-britten… Federico Santi, à la tête de l’Orchestre National Avignon-Provence, parvient à capter l’essence de la partition de Britten. Les textures orchestrales sont caractérisées, les dissonances soulignées et des silences appuyés, de manière à assoir l’ambiance sombre, mystérieuse et inquiétante sur un son riche et fougueux.   

– Wanderer: https://wanderersite.com/2021/10/tous-sur-le-pont-davignon/ L’Orchestre National Avignon-Provence est bien sûr un protagoniste essentiel dans une œuvre qui a été popularisée en partie grâce au Sea Interludes réunis par le compositeur en une suite de concert : sous la direction de Federico Santi, il relève le défi avec panache et parvient à traduire toute la palette maritime de l’œuvre. Le chef trouve également le tempo juste pour les scènes plus dramatiques et les moments d’affrontement.   

– Libre Théâtre: https://libretheatre.fr/peter-grimes-de-benjamin…/… La richesse de la partition symphonique de cette œuvre est brillamment portée par tous les pupitres de l’Orchestre national Avignon-Provence, sous la direction de Federico Santi, notamment lors des magnifiques interludes, où les arpèges chatoyants et les mélodies harmonieuses flirtent avec les dissonances. Le public a longuement ovationné tous les artistes qui ont participé à cette création audacieuse.   

– Concert Classic: Peter Grimes inaugure l’Opéra Grand Avignon rénové – Mortelle rumeur et vrai succès — Compte-rendu Sous la direction de Federico Santi, l’Orchestre National Avignon-Provence s’empare de l’ouvrage avec beaucoup d’assurance. Cet orchestre a désormais une âme, de la rondeur, des couleurs et une vraie présence. La précision est au rendez-vous de tous les pupitres et la complicité entre les instrumentistes indéniable. Federico Santi mettre ces qualités à profit pour donner toute sa dimension émotionnelle à la musique de Britten.  

– Res Musica: Peter Grimes rouvre les portes de l’Opéra d’Avignon – ResMusica L’Orchestre National Avignon-Provence, en grande forme sous la baguette de Federico Santi commence très fort. Les Interludes marins sont soignés, et la mer démontée de la tempête du I avec ses violons en folie, ne laisse personne indifférent. Après un entracte curieusement placé au cœur du second acte, la reprise est plus délicate (solo de violoncelle de la Passacaille) mais l’élan reprend jusqu’à l’étonnant chœur de la chasse à l’homme du troisième acte, l’interlude qui suit n’étant pas sans connivence avec l’ultime en ré mineur de Wozzeck. C’est le chœur, tout de précision et d’articulation, personnage essentiel de l’action, que l’on félicite en premier. Les Peter Grimes hurlés face public couronnent une prestation galvanisante.  

– Opéra Magazine: Đăng nhập hoặc đăng ký để xem À saluer, également, la performance des chœurs et de l’Orchestre National Avignon-Provence, dirigé avec un métier confondant par Federico Santi”

Barbiere di Siviglia, Teatro Comunale di Bologna 2019:
– GB Opera Magazine: https://www.gbopera.it/2019/03/bologna-teatro-comunale-il-barbiere-di-siviglia/ Il principale pregio, va detto subito, è quello di un ritmo serrato, costante, folgorante, gestito dalla bacchetta di Federico Santi, che soprattutto nel primo atto riesce ad essere insieme pulita e comica senza alcuna concessione alle caccole della tradizione, completamente ripulite -tanto da rendere (finalmente) quasi irriconoscibile il capolavoro rossiniano, che ne emerge in apollinea bellezza… Come già detto, un esito tanto felice (con ovazioni per tutti) non sarebbe stato possibile senza la concertazione di Federico Santi alla guida dell’Orchestra del Comunale di Bologna: una prova di dinamismo, agilità, pulizia e soprattutto di leggerezza che ancora oggi, dopo l’esempio abbadiano, quarant’anni di festival pesarese e cinquant’anni di filologia, è ancora raro trovare. Ne beneficia ovviamente l’esito del teatro musicale nella sua interezza.

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